Quelques nouvelles des jeunes que nous soutenons pour leurs études au Niger.
Chez eux aussi la vie quotidienne est fortement perturbée par la pandémie en cours.
Les écoles ont été fermées, et seront peut-être ré-ouvertes prochainement.
Mais les conséquences économiques pourraient être plus graves que celles de la maladie elle-même, qui semble avoir un génie évolutif particulier en Afrique.
Alors qu’ils entrent dans la période de « soudure », en attendant la saison des pluies, les marchés aux bestiaux sont vides et ne permettent plus aux éleveurs de vendre leurs animaux et d’avoir de quoi acheter de la nourriture, dont les prix augmentent.
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